Le jour où... Steven Gerrard s'est
Le jour où... Steven Gerrard s'est déchiré le pénis pendant un match
Rédaction en lignePublié le 14/09/2015 à 0h09
déchiré le pénis pendant un match
Rédaction en lignePublié le 14/09/2015 à 0h09
Avec toutes ces années passées sous le maillot de Liverpool, sa victoire en Ligue des Champions en 2005, son brassard de capitaine, ses coups francs supersoniques et... sa glissade meurtrière face à Chelsea en 2014 (une mésaventure qui entraîna un but de Demba Ba et coûta sans doute le titre après lequel les Reds courent après depuis 20 ans, à savoir le championnat d'Angleterre), on en oublierait presque que la carrière de Steven Gerrard n'a pas été que gloire et décadence. Mais bel et bien également faite de quelques moments croustillants.
Dans My Story, la biographie écrite par Gerrard himself (même si celui-ci a sans doute reçu un petit coup de main...), on découvre une histoire complètement folle, que le Daily Mail n'a évidemment pas manqué de poster sur son site internet. En 2014, l'Anglais explique avoir souffert d'une blessure pour le moins ennuyeuse et délicate, étant donné qu'elle se situait au niveau de son... pénis !
"La magie de la FA Cup a viré au rouge sang le jour où mon pénis a été coupé et ensuite recousu lors d'une après-midi tout sauf romantique à Bournemouth, l'année dernière", écrit-il. "C'était à pleurer. J'ai essayé de stopper le mouvement d'un ailier mais j'ai senti quelque chose qui piquait dans mes parties intimes. Je me suis dit: 'Merde, ça ne fait pas du bien'. Ça piquait à mort, putain ! L'entaille n'avait pas bel air, juste au milieu. Ça saignait énormément. Ça a nécessité 4 points de suture."
Se faire soigner n'a pas été facile pour le milieu de terrain, qui a dû chercher un endroit pas trop peuplé avec le médecin pour pratiquer cette opération délicate. Pas facile quand on est l'idole des millions de gamins du coin qui ne veulent que serrer la main de la légende d'Anfield Road. "Ils ont dû me trouver un peu timide", se remémore-t-il, un an après les faits. "J'espérais ne pas devoir dire au revoir à mon vieil ami. Je préférais ne pas regarder ce que le docteur faisait. Il avait déjà dû s'occuper de la tête de Martin Skrtel et maintenant de mon pénis !"
Drôle de journée en effet pour le physio... Et pour les équipiers de Gerrard, qui n'ont bien sûr pas perdu l'occasion de charrier leur capitaine...
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