Trump triomphe, Clinton dégringole
Donald Trump remporte 288 grands électeurs, Hillary Clinton 218.
La victoire est incontestable, il reste à féliciter le 45 EME président des états unis par suffrage universel.
L’Europe en deuil, le rêve européen s’effondre par la défaite de Hillary Clinton, la peur d un sexiste au pouvoir à l instar d' une soumise.
La Belgique au plus bas de ses espérances, La victoire de Trump ne va pas ramener les entreprises américaines en plein évasion du royaume.
La France a été le premier pays à féliciter un président détesté jusqu’ ‘ à ce jour,
Poutine honoré par le respect du nouveau président le considérant comme modèle économique et politique.
M. Poutine a "exprimé l'espoir que (soit mené) un travail mutuel pour sortir les relations entre la Russie et les Etats-Unis de leur situation critique", a annoncé le Kremlin dans un communiqué. Il a également "dit être certain qu'un dialogue constructif sera établi entre Moscou et Washington, basé sur des principes d'égalité, de respect mutuel, de prise en compte réelle des positions des uns et des autres, dans l'intérêt de (leurs) peuples et de la communauté internationale", selon le Kremlin.
L opinions publique européenne continue à se « trumper », après le Brexit, le Trump président,
L’Europe n’est plus adapté à la nouvelle vie politique, économique et sociale, la montée de l extrémisme dans le monde entier est une réalité même si l’Europe se bat pour démontrer le contraire, alors qu’elle n’a même pas pu gérer la crise des migrants et des réfugiés de Syrie par elle-même.
La France, pays de liberté a chassé les migrants et réfugiés de la « Jungle » à coup de matraque.
Si Trump devrait construire un mur, ca devrait être plus long que la muraille de Chine, les mexicains seront les premiers à être concerné.
De toute façon les seuls musulmans qui vivent aux USA sont souvent recruté par les états unis avec des contrats de travail, très peu de musulmans sont clandestins, ou sans demande de visa ou sans demande de regroupement familial.
Les USA ont eu Casanova, un cow-boy, un illusionniste, un saxophoniste, un terroriste, un surfer et maintenant Porky Pig comme président ses dernières années, il fallait un peu de changement, donc le peuple a voté pour un extrémiste pour éviter de revivre des histoires de sexe de la famille Clinton.
L’Histoire nous montrera le résultat du scrutin, entre – temps évitant de condamner un innocent présumé coupable.
Le seul avantage qu il aura , il sera son propre sponsor, l argent sortira d une poche pour rentrer dans l 'autre poche,
Le Programme Trump " Immigration, économie, sécurité, politique étrangère, terrorisme, écologie, avortement... Quel est le programme de Donald Trump ?"
" ......
Sa possible victoire est une énorme surprise. L'application du programme de Donald Trump en sera une autre. "Make America Great Again" : le slogan du candidat républicain a donné le ton. Isolationniste, ultra-conservateur, anti-immigration... Le programme de Donald Trump, parfois flou, souvent non-chiffré, donne des sueurs froides.
Le milliardaire populiste, à l'en croire, engagera le changement au pas de charge, durant ses 100 premiers jours. Il les a détaillés le 22 octobre à Gettysburg, en Pennsylvanie, lieu historique de la guerre de Sécession et d'un discours célèbre du président Abraham Lincoln en 1863.
- Immigration : un mur et "2 millions" d'expulsions
Un mur de 1.600 kilomètres de long à la frontière mexicaine : c'est l'idée originelle de Donald Trump pour, dit-il, "endiguer" l'immigration. Le mur sera financé, et selon lui entièrement remboursé, par le Mexique.
Le milliardaire républicain a aussi promis d'"expulser plus de 2 millions d'immigrants criminels" dès son arrivée dans le bureau ovale, et d'"annuler les visas de pays étrangers qui ne les reprendront pas".
Donald Trump a également déclaré au cours de la campagne que dès son premier jour à la Maison-Blanche, il engagerait l'expulsion des 11 millions d'immigrants clandestins, ou encore la fin du programme d'accueil des réfugiés syriens. Ces mesures ne figuraient pas dans le discours de Gettysburg. Mais compte-tenu de la légèreté de la parole du candidat républicain, rien n'indique qu'il ne passera pas à l'acte.
Autres promesses : revenir sur le droit du sol, qui permet à une personne née aux Etats-Unis d’obtenir la nationalité américaine ; tripler le nombre d’agents de l’immigration ; imposer une peine de prison fédérale de deux ans minimum à tous les immigrants clandestins expulsés qui reviendraient aux États-Unis.
- Economie : isolationnisme et baisse d'impôts
Dès son premier jour, Donald Trump, qui a toujours défendu le protectionnisme, entend annoncer son "intention de renégocier" le traité de libre-échange nord-américain (Nafta) et le retrait des États-Unis du partenariat trans-pacifique (TPP).
Pour Donald Trump, c'est simple : la Chine "est responsable de près de la moitié de notre déficit commercial". Le milliardaire s’est dit prêt à accuser officiellement Pékin de manipulation des taux de change. Il souhaite aussi imposer des droits compensatoires sur les produits "made in China". En 2011, Donald Trump disait déjà qu'il taxerait à hauteur de 25% les produits chinois s'il était élu président des États-Unis.
En dépit de ses tensions avec son parti, pour l'instant majoritaire à la Chambre et au Sénat, Donald Trump promet aussi de travailler avec le Congrès pour introduire et pousser à l'adoption d'un plan économique créant 25 millions d'emplois sur dix ans, à travers notamment des baisses d'impôts substantielles pour la classe moyenne et les entreprises. Avec l'objectif d'une croissance de 4% par an.
Concrètement : le projet économique du candidat républicain vise à relancer l'activité par le déficit et la déréglementation. Il promet 3,5% à 4% de croissance (contre 1,8% projeté pour 2016) en réduisant l'impôt sur les sociétés de 35% à 15%, ainsi que celui des contribuables les plus riches (la tranche la plus élevée passant de 39,6% à 33%) - ce qui gonflerait fortement le déficit budgétaire.
A son programme également, 1.000 milliards de dollars d'investissements dans les infrastructures dans les dix ans, grâce à des partenariats public-privé et des investissements privés encouragés par des abattements fiscaux.
Comment financera-t-il ce programme ? Que pourra-t-il vraiment accomplir ? De nombreux experts sont dubitatifs, d'autant que Donald Trump a souvent varié dans ses propos.
- Sécurité : la torture
Pour lutter contre le terrorisme, Donald Trump a des idées simples :
- Il propose d’autoriser la torture. Il a appelé également à tuer les familles des terroristes, dans le but de dissuader les candidats au djihad. Il "suspendra aussi l'immigration de régions enclines au terrorisme", et mettra en place des "contrôles extrêmes aux frontières".
Il a aussi promis une forte hausse du budget de la défense. L'armée a été tellement "affaiblie" qu'elle a besoin d'être renforcée à grande échelle, avec davantage de soldats, d'avions et de navires.
- Politique étrangère : Otan, Etat islamique et Russie
Donald Trump souhaite que les alliés des Etats-Unis au sein de l’Alliance Atlantique (Otan) payent plus pour assurer leur propre sécurité. Et si ils ne le font pas, il menace de sortir les Etats-Unis de l’organisation.
Il veut "mettre KO" l'organisation Etat islamique, avec notamment une coopération avec la Russie, sans donner davantage de détails.
"Immédiatement après avoir pris mes fonctions, je demanderai à mes généraux de me présenter un plan sous 30 jours pour vaincre et détruire l'EI".
Il évoque "une guerre classique, mais aussi une guerre sur internet, une guerre financière et une guerre idéologique".
"Ma priorité numéro un est de démanteler l’accord catastrophique avec l’Iran", avait lancé Donald Trump en mars dernier devant la convention annuelle de l'Aipac, le groupe de pression juif américain favorable à Israël.
- La famille et l'avortement
Après plusieurs volte-face, Donald Trump s’est finalement aligné sur les positions conservatrices du Parti républicain sur l'avortement. Il affirme donc que l’embryon "a un droit fondamental à la vie qui ne peut être enfreint".
En ce qui concerne sa politique, il veut permettre aux familles de déduire de leurs impôts les coûts de garde d’enfants. Il propose d’accorder six semaines payées comme une indemnité chômage pour le congé maternité, qui n'existe pas au Etats-Unis.
- La fin de l'Obamacare
Donald Trump travaillera aussi à l'abolition la plus rapide possible de la loi sur l'assurance maladie surnommée "Obamacare".
- Les armes à feu : "Un droit donné par Dieu"
Le programme du candidat républicain réaffirme que la détention d’armes à feu est "un droit naturel et inaliénable".
"Un droit donné par Dieu à l’autodéfense".
- La fin de la lutte contre le réchauffement climatique
Donald Trump a promis qu’il annulerait l’accord de Paris sur le climat et qu’il supprimerait l’Agence de protection de l’environnement (EPA).
Il lèvera aussi les restrictions à la production d'énergies fossiles et relancera le projet d'oléoduc Keystone XL auquel le président Barack Obama avait mis son veto en février 2015.
Donald Trump entend aussi annuler des milliards de dollars de paiements prévus aux Nations unies pour les programmes visant à lutter contre le changement climatique..................
Paul Laubacher "
Pour les lecteurs qui croient que les présidents sont des hommes normaux vont être assez etonnés de lire le diagnostic de certains présidents dans l article de la libre ci dessous ;
"....Une question glaçante flotte aujourd’hui sur le monde: et si les Etats-Unis étaient gouvernés par un “président fou” à partir de 2017 ? Donald Trump, alors candidat républicain, faisait en effet régulièrement l’objet d’accusations de troubles mentaux. Fin octobre, c’est le polémiste Glenn Beck qui l’avait taxé de “sociopathe”, expliquant : “Je ne l’ai jamais vu affecté par le sort du moindre individu.” Au minimum, Trump serait un “narcissique”, selon quelques spécialistes de la psychiatrie qui ne l’ont jamais consulté et tirent leurs conclusions de ses discours publics – des diagnostics sauvages sont dénoncés par d’autres scientifiques. Anxiété, dépression, dépendance à l’alcool… Alors, est-ce vraiment une terrible perspective d’imaginer un “fou” contrôler la première puissance mondiale ? Oui, cela va sans dire. Mais, le plus étonnant, c’est que le scénario s’est déjà bel et bien produit dans le passé. Et même à plusieurs reprises. C’est ce qu’affirme une étude du Duke University Medical Center, en Caroline du Nord, publiée en 2006 par le Journal of Nervous and Mental Disease. Trois chercheurs ont passé au crible la biographie de tous les présidents américains entre la Déclaration d’indépendance de 1776 et la fin du mandat de Richard Nixon en 1974. Les résultats sont éloquents : 49 % des chefs d’Etat “remplissent des critères suggérant des troubles psychologiques”. La définition est large, regroupant aussi bien l’anxiété (8 %) ou la dépression (24 %) que la dépendance à l’alcool (8 %). L’étude relève par ailleurs des comportements bipolaires chez 8 % des présidents : John Adams, Theodore Roosevelt et plus près de nous Lyndon Johnson. Dans la plupart des cas, la maladie a été parfaitement gardée secrète et le grand public n’en a jamais rien su. D’autant que – et c’est la conclusion la plus perturbante de notre propre recherche sur les présidents des Etats-Unis à travers les livres, articles de presse et autres études, qui nous ont permis de dresser une galerie de cinq portraits édifiants – un dirigeant politique peut produire un travail efficace malgré ce type de désordres. Voire grâce à eux. Le Dr Katherine Nordal, directrice de l’Association américaine de psychologie, souligne le paradoxe : “Certains problèmes de santé mentale peuvent, en fait, contribuer à la grandeur” d’un individu.” Theodore Roosevelt (1901-1909), un Teddy bear bipolaire Un conte digne de Walt Disney : lors d’une partie de chasse, le président Theodore Roosevelt refusa d’abattre un ours sans défense. Depuis, son surnom est donné aux ours en peluche, les Teddy bears. Dans ces conditions, difficile d’imaginer que ce personnage aux grosses moustaches débonnaires était excité par l’odeur de poudre. En vrai, un mélange de Vladimir Poutine pour son culte de la virilité et de Trump ou Reagan pour l’incantation impérialiste américaine. Les chercheurs du Duke University Medical Center le classent “bipolaire de type 1”. Ce qu’on appelait autrefois les “maniaco-dépressifs”. Roosevelt lui-même revendiquait une “doctrine de vie énergique”. Il s’endurcit par l’équitation, la natation et la boxe. A la Maison-Blanche, il défie un soldat et prend un coup qui handicape sa vision. Il dit : “Heureusement que c’était l’œil gauche, si c’était le droit je ne pourrais plus tirer.” Roosevelt adore les terrains de bataille. Comme ministre, il avait conduit la guerre de 1898 contre l’Espagne. Après son mandat de président, il veut personnellement participer à la Première Guerre mondiale… Entre les deux, il flingue avec les mots. Un opposant est traité d’“humanitaire professionnel émasculé”, un autre d’“hermaphrodite politique”. Quant à son style de gouvernance, il est “proche du fascisme”, analyse l’historien John Morton Blum. Woodrow Wilson (1913-1921), terrassé par les attaques Freud s’est amusé à psychanalyser Wilson, le président américain en exercice pendant la Première Guerre mondiale. Il le trouve neurasthénique, nerveux, sujet aux migraines. A aucun moment le chercheur autrichien n’allonge le chef d’Etat sur son divan, il se contente de recueillir çà et là des informations sur lui. Freud décèle une “identification totale au père”, pasteur protestant, ce qui reviendrait pour Wilson à se prendre pour le Christ… Mais même les disciples de Freud considèrent que cette analyse est ratée. Voilà le fond du problème : Woodrow Wilson est dyslexique et n’a su lire qu’à ses 12 ans. Puis il subit des attaques cérébrales à répétition. Ainsi, il perd peu à peu l’usage de certaines fonctions motrices et fait des crises d’angoisse. En 1919, tandis qu’il se bat pour imposer le projet d’une Société des nations (future Onu), il est victime d’une nouvelle attaque. Pendant un an et demi, Woodrow Wilson n’est plus en état de voyager ou de tenir une grande réunion. Sa femme le protège. Un ministre trop curieux est viré. Déboussolé, le Président demande à son chauffeur de rouler doucement et d’arrêter les automobilistes qui circulent plus vite que lui. Malgré cette situation délétère, il faudra attendre 1967 pour que le Congrès vote un amendement permettant de démettre un président inapte au pouvoir. Calvin Coolidge (1923-1929), le sadique à la canne à pêche La grande dépression économique de 1929 aurait-elle été évitée si Calvin Coolidge n’avait pas souffert de sa propre dépression, d’origine nerveuse ? Le président républicain, partisan de donner des droits civiques aux Noirs américains, est brisé depuis par la mort de son fils en 1924. Rien ne va plus à la Maison-Blanche. Lors d’une partie de pêche, Coolidge essaie sadiquement de planter son hameçon dans la main d’un de ses gardes du corps. Une autre fois, il omet de prêter secours à sa femme, qui s’est blessée toute seule avec l’embout de sa canne, et il se contente de la regarder fixement. Il soupçonne son épouse de coucher avec un de ses officiers de sécurité, peut-être est-ce la raison de son comportement. La scène la plus surréaliste se déroule un soir alors qu’il dîne avec Herbert Hoover, son secrétaire d’Etat au Commerce et futur successeur à la présidence. Soudain, Coolidge désigne le portrait de son prédécesseur John Q. Adams : “Vous ne trouvez pas que la lumière est trop vive sur la tête de M. Adams ?” Le chef de l’Etat décide de retoucher la toile : il prend un escabeau et noircit le tableau avec de la cendre. Dépressif, il passait son temps à dormir. On estime qu’il ne travaillait qu’environ quatre heures par jour. “Mentalement perturbé”, disaient les médecins de la présidence. Quant aux électeurs, ils n’ont pas compris pourquoi Coolidge a refusé de se représenter en 1929. John Kennedy (1961-1963), une politique sous médocs Pendant la campagne présidentielle de 1960, John Kennedy craignait que ses opposants mettent la main sur un objet compromettant : un de ses flacons de pilules qui le suivaient partout. Lui qui passait pour l’incarnation de la jeunesse était en piètre santé, consommant jusqu’à une dizaine de traitements par jour. Pour les maux de dos, la prostate, l’insuffisance des surrénales, les troubles du sommeil… L’escalade est dangereuse. Ainsi, comme il est déprimé par des antihistaminiques censés calmer ses allergies alimentaires, le Président bascule dans les anxiolytiques en décembre 1962. Pour tenir le coup, il reçoit aussi des stéroïdes et des amphétamines (la Ritaline). Ce cocktail a une influence sur son comportement. Et peut-être également sur sa politique. Le psychiatre Nassir Ghaemi, qui a consulté les archives médicales, défend cette idée en 2011. Selon lui, la “débauche d’énergie” et “l’hypersexualité” de Kennedy (qui disait vouloir trois femmes par jour) sont des symptômes “cohérents avec le tempérament qu’on appelle l’hyperthymie”, un état d’euphorie, une affection bipolaire. Or, quand les médecins baissent la dose des traitements, observe Nassir Ghaemi, cela “coïncide avec sa dernière année au pouvoir, quand sa politique change considérablement, quand il devient un partisan des droits civiques et le leader très résilient de la guerre froide”. Lyndon B. Johnson (1963-1969), obsédé par son pénis Le successeur de Kennedy avait un sujet de conversation favori : son sexe. Il lui avait même trouvé un nom : “Jumbo”. Depuis une vingtaine d’années, les langues se délient autour de la verge présidentielle. On sait ainsi que dans les toilettes du Congrès, Lyndon Johnson forçait les députés à admirer : “Vous avez déjà vu quelque chose d’aussi gros ?” En prime, il faisait tournoyer Jumbo sous leurs yeux. Les journalistes ont eux aussi été choqués : il urinait en plein air devant eux. Un jour, il exigea que soit construite une nouvelle douche, avec un jet au niveau de l’entrejambe. Face aux réticences, il osa évoquer la guerre du Vietnam : “Si je peux bouger 10 000 soldats dans une journée, vous pouvez certainement arranger cette douche comme je demande !” Pour couronner le tout, Lyndon Johnson convoquait son personnel lorsqu’il était sur le trône – littéralement. Certains, très gênés, détournaient le regard. Le Président faisait comme si de rien n’était et poursuivait la conversation. Etait-ce une manière d’humilier ses collaborateurs ? Une pulsion exhibitionniste ? Catalogué comme bipolaire par le Duke University Medical Center en 2006, il inquiétait déjà à l’époque ses assistants, qui avaient sollicité des psychiatres à son insu. Tous avaient conclu à une “paranoïa destructrice”, dans un contexte où les pacifistes se déchaînaient contre l’exécutif. Pauvre Jumbo !...."'
Duran Kadir
Bruxelles Korner